Eric Pilavian (Compositeur) |
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Né
à Sartrouville en 1971, d'une mère française et d'un père arménien,
Eric Pilavian prend dès l’âge de 8 ans des cours d’orgue et des
cours de piano avec Roland Kaminski. Il
parfait actuellement sa formation musicale au conservatoire Berlioz du
10ème arrondissement de Paris, en prenant des cours
d’harmonie (avec David Lampel) et de piano classique (avec Catherine
Brilli-Gauci). Il
se passionne rapidement pour la composition musicale Il participe
notamment à la création de l’univers musical de pièces de théâtre :
« Arlequin poli par l’amour » (Marivaux), « Le procès
de Lucullus » (Brecht). Il
se tourne progressivement vers la musique d’images et compose la
musique de plusieurs courts-métrage : « Eve » (Cédric
Prévost), « Chimère » (Cédric Prévost), « L’indifférence »
(Fabrice Gilbert)… Il
collabore également avec Solenne Delille à la composition de chansons
françaises. C’est l’occasion pour lui de travailler avec des
chanteurs et chanteuses pour lesquels il écrit des mélodies en
s’adaptant à des tessitures de voix variées. Ses
compositions et arrangements sont caractérisées par un univers
personnel qui dénote d’une sensibilité très présente dans ses œuvres.
Il aime ajouter de subtiles touches insolites faites de sonorités électroniques
et d’instruments traditionnels et classiques. Ses influences artistiques et musicales sont très diverses, à la fois contemporaines mais aussi classiques (Serge Rachmaninoff, John Williams, Hans Zimmer, …). Formation artistique :.
Catherine
Brilli-Gauci, pianiste,
professeur de piano, chef de chœur, directrice de Conservatoire à
Paris…),
. David Lampel, compositeur de musique classique pour piano et orchestre, auteur du Manuel Pratique d’harmonie tonale.
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Courts-métrages : « Eve » Le
réveil d'une Eve moderne dans les entrailles de la ville. Sélection
festival Dakino 1997 (Bucarest) Sélection
festival du film court de Lille (1998) European
Filmfestival ALPINALE (1998) 7th international short film festival (1998) « Chimère » Perdu
dans une forêt imaginaire, un jeune homme réalise progressivement le
caractère fictif du décor qui l'entoure et de sa propre existence.Sélection
« L’indifférence » Un
jeune homme, dans une laverie automatique, attend que sa machine soit
terminée. Dans la rue passe une vieille femme, portant d'énormes
paquets et réalisant un étrange ballet en passant devant la vitrine. De
l'amusement, et de la surprise naîtra une certaine intimité entre ce
jeune homme et cette passante inconnue. Sélection
festival « cours, Paris court » (2006) |